ces infractions, un peu plus du tiers (36 %) étaient des introductions par
De même, les homicides mettant en cause une arme à feu sont moins susceptibles d’être résolus13 que les homicides commis au moyen d’une autre arme ou de la force physique. Saskatchewan (56 victimes pour 100 000 habitants) et le Manitoba
Le Centre canadien de la statistique juridique a cerné un
criminalité (DUC) fondé sur l’affaire facilite les comparaisons au fil du
En effet, l’utilisation d’une arme à feu a donné lieu à des blessures graves ou causé la mort de la victime dans 33 % des affaires ayant entraîné des blessures, une proportion plus élevée que celle des crimes violents commis en ayant recours à d’autres armes (14 %) ou à la force physique (4 %) (graphique de l’encadré 2). de crimes liés aux armes à feu étaient plus élevés dans les plus grandes villes
En
légèrement pour atteindre 2,7 % en 2015 et 2,8 % en 2016 (tableau 1, tableau 2). nombre de victimes s’explique surtout par les baisses enregistrées en Ontario (-570),
de police sont disponibles dans l’article d’Allen et
En 2012, 84 % des victimes d’homicide commis à l’aide d’une arme à feu étaient des hommes, comparativement à 67 % des victimes d’homicide commis sans arme à feu, des proportions qui sont demeurées relativement stables au cours de la dernière décennie. En 2012, on comptait 10 vols qualifiés commis au moyen d’une arme à feu pour 100 000 habitants, ce qui représente un recul de 55 % par rapport à 1998 (graphique 7)10. Lorsqu’on examine les taux d’homicides commis au moyen d’une arme à feu dans des pays semblables, on constate que celui du Canada est environ sept fois inférieur à celui des États-Unis (3,5 victimes pour 100 000 habitants). du temps. Enfin, de nombreux facteurs ont une incidence sur les différences entre les provinces et territoires. Dans ces deux provinces, ainsi qu’en Ontario et en Alberta, les infractions liées
Les services de police des régions urbaines desservent un
moment de la perpétration d’une infraction. Dernière mise à jour : 23 juillet 2019. Ces renseignements comprennent les caractéristiques liées aux affaires (arme et lieu), aux victimes (âge, sexe et lien de l’auteur présumé avec la victime) et aux auteurs présumés (âge et sexe). Les taux de crimes violents liés à une carabine ou à un fusil de
niveaux de crimes violents liés aux armes à feu étaient comparables dans les
En 2013, l’Indice de gravité de la criminalité (IGC) était de 68,8; depuis que
2 % dans les autres provinces et territoires (tableau 2). BERMAN, Eric G., et autres. Victimes de crimes violents liés aux armes à feu déclarés par la police, selon le type d’arme à feu, 2009 à 2016, Tableau 2
Bien qu’il s’agisse d’une petite proportion de jeunes auteurs présumés de crimes violents, environ 1 auteur présumé sur 5 de crimes violents commis à l’aide d’une arme à feu (21 %) en 2012 était un jeune de 12 à 17 ans (tableau 9). Dans le cas des auteurs présumés de plus de 55 ans, une carabine ou un fusil de chasse était l’arme la plus souvent présente (46 %). L'information n'est plus à jour? province de Québec en raison de la proportion élevée d’affaires dans lesquelles
Ottawa représente la partie de la RMR d’Ottawa–Gatineau située en Ontario. Publication autorisée par le ministre responsable de Statistique Canada. Le taux et la proportion de la présence de cette arme varient d'une province à l'autre. crime organisé. Il est toutefois plus élevé que celui de plusieurs autres pays semblables5 (graphique 4). Le taux de jeunes auteurs présumés de crimes violents commis avec une arme à feu varie selon les provinces. autour d’un centre de population (aussi appelé « noyau »). métropolitaines de recensement (RMR) (tableau 3,
arme à feu intentionnellement que de braquages d’une arme à feu. Exclut les sections de la Police régionale de Halton et de la Police régionale de Durham qui desservent la RMR de Toronto. données sont extraites du Programme
restante des infractions (64 %) étaient des introductions par effraction
si une victime a été menacée avec une arme, mais que l’utilisation de celle-ci n’a pas entraîné de blessures corporelles). de déclaration uniforme de la criminalité. sur le lieu de travail du recensement précédent. Les Territoires du Nord-Ouest ont enregistré 11 victimes de crimes violents
Top of page. certain nombre de pratiques exemplaires pour la collecte de cette information
Victimes de crimes violents déclarés par la police, selon le type d’arme présente et la région métropolitaine de recensement, 2016, Tableau 4
2,3 %, et a ensuite augmenté
bas des dernières années en 2013Note . d’importantes conséquences émotionnelles et physiques sur les victimes, les
Le
Les crimes impliquant des armes à feu ne sont pas tous des crimes violents. La majorité des armes à feu au Canada sont des armes d’épaule (carabines et fusils de chasse). en Colombie-Britannique (-400) et en Nouvelle-Écosse (-156). feu ont été dénombrées. Outre les infractions avec violence prévues au Code criminel qui, par définition, comportent des armes à feu3, certaines infractions avec violence sont plus susceptibles que d’autres de comporter une arme à feu. Les jeunes auteurs présumés possédaient souvent une arme similaire à une arme à feu, notamment un fusil à plombs, un pistolet lance-fusées ou un type inconnu d'armes à feu (44 %), ou encore une arme de poing (38 %) (tableau 10). Pour faire partie d’une RMR ou d’une AR, les
Au Canada, les armes à feu sont catégorisées en trois groupes. le Nord provincial et les territoires du Canada, 2013, Les armes à feu et les crimes violents au Canada, 2012, Mesurer le crime organisé
L’absence de données sur les cours supérieures de ces cinq provinces peut avoir entraîné une sous-estimation de la sévérité des peines imposées parce que certaines des causes les plus graves, qui sont susceptibles d’entraîner les peines les plus sévères, sont instruites par les cours supérieures. Depuis 1972, le taux d’homicides commis avec une arme à feu a reculé de 45 %, alors que le taux d’homicides commis sans arme à feu a fléchi de 22 %. Si au moins deux accusations obtiennent toujours le même classement à la suite de cet exercice, on tient alors compte des renseignements sur le type de peine et sur la durée de la peine (p. ex. à celui observé dans les régions urbaines (12 pour 100 000 habitants par
De
Les données tirées du fichier sur les tendances du Programme DUC 2 (2009 à 2012) représentent 99 % des services de police du Canada. En 2016, environ
à 2013, le taux de crimes violents liés aux armes à feu a plus que doublé à
Cette diminution des vols qualifiés commis avec une arme à feu était à l’origine de la baisse globale du taux de vols qualifiés, qui a reculé de 27 % entre 1998 et 2012. l’emprisonnement et la durée de l’emprisonnement, la probation et la durée de la probation). environ 1 500 (1 %) étaient attribuables à une arme à feu. Parmi l’ensemble des victimes de crimes violents,
La proportion restante de 1 % des victimes (ou 1 325) ont subi des blessures en raison de l’utilisation d’une arme à feu. à l’attention de la police, tandis que la proportion variait de 1 % à
L'Agence des services frontaliers du Canada a saisi 647 armes à feu au cours de l'exercice 2019-2020. observée depuis 2013 est principalement attribuable à des hausses marquées du
Cet article du Juristat présente des renseignements sur les types d’armes à feu les plus souvent présents et les plus souvent utilisés dans la perpétration d’une infraction, sur le lien de l’auteur présumé avec la victime, sur la gravité des blessures et sur l’implication des jeunes dans les crimes violents. Pour ce qui est des États-Unis, les taux sont calculés pour 100 000 habitants à patir des estimations de la population de 2012 fournies par le United States Census Bureau. « Statistiques sur les crimes déclarés par la police au Canada, 2012 », Juristat, produit no 85-002-X au catalogue de Statistique Canada. Le Nunavut (154 pour 100 000 habitants) et les Territoires du Nord-Ouest (39 pour 100 000 habitants) ont enregistré des taux de crimes violents commis à l’aide d’une arme à feu plus élevés que ceux de toutes les provinces ayant déclaré des données. En 2012, bien que la police ait dénombré environ 5 600 crimes violents impliquant la présence d’une arme à feu, elle a déclaré environ 1 300 crimes violents comportant l’utilisation d’une arme à feu et entraînant une blessure (tableau 1B). (graphique 4). Ces valeurs sont multipliées pour obtenir le classement final de la gravité de chaque type d’infraction. Le présent article du Juristat porte sur les crimes violents commis à l’aide d’une arme à feu. l’instar des tendances relatives aux crimes violents en général, la
Pour ce qui est des données du Programme DUC, cette catégorie comprend également tous les types inconnus d'armes à feu. Best Match. Parmi les provinces ayant déclaré des données, les taux de ces crimes étaient les plus élevés en Saskatchewan (34 pour 100 000 habitants) et au Manitoba (32 pour 100 000 habitants) (tableau 4, graphique 8), ce qui correspond aux tendances de la criminalité en général (Perreault, 2013). précisément dans l’intention de voler une arme à feuNote . On compare ces résultats avec les données sur les crimes violents commis sans arme à feu pour mieux comprendre la nature des crimes violents commis à l’aide d’une arme à feu au Canada. graphique 1). Bien que le nombre de crimes violents ait diminué en général, le taux de crimes violents commis au moyen d’une arme à feu diminue à un rythme plus rapide que celui des crimes violents commis sans arme à feu. Victimes de crimes violents liés aux armes à feu déclarés par la police, selon la province ou le territoire et selon que le crime a eu lieu dans le Nord ou le Sud ou dans une région urbaine ou rurale, 2016, Tableau 1 en annexe
En 2012, on dénombrait environ 14 000 infractions du genre, ce qui représente un taux de 41 pour 100 000 habitants (tableau de l’encadré 5). vivent dans le noyau. Cette base de données contient les données de l’ensemble des services de
2013. fusil de tireur d’élite). dans le cadre du Programme DUC (voir Munch et Silver, 2017). Canada. La deuxième variable, l’arme ayant causé les blessures,
SOURCE :Statistique Canada, Statistiques de la criminalité du Canada (Catalogue 85-205) [1] Ces infractions comprennent le port d’armes, pointer une arme et la possession d’une arme prohibée ou d’une arme à autorisation restreinte sans permis. provinces et les territoires que dans le Sud (19 pour 100 000 habitants par
Une RMR ou une AR est formée d’une ou de plusieurs municipalités adjacentes situées
Les jeunes adultes de 18 à 24 ans sont les plus susceptibles d’être les auteurs présumés de crimes violents, indépendamment de l’arme la plus dangereuse sur les lieux de l’affaire. Ce programme précise que ce type de voies de fait est habituellement accompagné de l’utilisation d’une arme ou d’autres moyens susceptibles d’entraîner la mort ou des lésions corporelles graves. En 2012, une arme à feu était présente lors de 4 tentatives de meurtre sur 10 (42 %) (tableau 1A, graphique 2). 2013, de nombreuses petites RMR du Canada ont déclaré des diminutions du nombre
L’unité d’analyse de base est la cause. Les renseignements sur les auteurs présumés d’homicide sont disponibles seulement pour les affaires résolues (c.-à-d. celles dans lesquelles au moins un auteur présumé a été identifié). Le type d’arme à feu présent sur les lieux de l’affaire varie selon l’âge de l’auteur présumé. 2013. En outre, environ 1 décès attribuable à une arme à feu sur 5 (21 %) au Canada découle d’une infraction criminelle, tandis que la majorité (79 %) font suite à des suicides, des accidents ou à des interventions policières (Statistique Canada, 2012). Quelque chose ne fonctionne pas? En 2012, les plus hauts taux d’homicides commis à l’aide d’une arme à feu parmi les provinces ont été enregistré en Nouvelle-Écosse (0,84 pour 100 000 habitants) et en Alberta (0,75 pour 100 000 habitants). Au début des années 1990, le taux d’homicides commis au moyen d’une arme de poing a dépassé pour la première fois le taux d’homicides commis à l’aide d’une carabine ou d’un fusil de chasse. Small Arms Survey 2007: Guns and the City, Cambridge University Press. Avant 1991, les homicides commis avec une arme à feu mettaient le plus souvent en cause une carabine ou un fusil de chasse. crimes violents liés aux armes à feu ne représentent qu’une petite partie de
proportion de 32 %. * De plus, la loi n’oblige pas la police à soumettre des armes à feu aux fins de dépistagevii. Toutefois, on peut produire des chiffres fondés sur toutes les infractions sur demande. Les chiffres de
20 075 blessés. En
Par exemple, les taux de possession d’armes à
plus amples renseignements sur les caractéristiques générales sont disponibles
To contact Programme canadien des armes à feu de la Gendarmerie royale du Canada. Les frais de service suivants du Programme canadien des armes à feu (PCAF) ont été rajustés pour tenir compte de l'inflation.Le taux d'inflation annuel est déterminé par l'Indice d'ensemble des prix à la consommation, publié par Statistique Canada. Le
L’Enquête intégrée sur les tribunaux de juridiction criminelle (EITJC) est réalisée par le Centre canadien de la statistique juridique (Statistique Canada), en collaboration avec les ministères des gouvernements provinciaux et territoriaux responsables des tribunaux de juridiction criminelle au Canada. [Faits saillants] [Article intégral en PDF]. Moncton (31 victimes pour 100 000 habitants, respectivement), suivies
En 2012, on comptait 8 813 homicides commis avec une arme à feu aux États-Unis, représentant 69 % de tous les homicides. Au Canada, cette proportion se chiffrait à 33 %6. More info about Linked Data \n \n Primary Entity\/h3>\n. régions rurales (17 victimes pour 100 000 habitants par rapport à 7 pour
Case 8 - Indiquez où se trouveront, au Canada, vos armes à feu. « Les crimes déclarés par la police dans
7 100 victimes de crimes violents impliquant la présence d’une arme à
hauts taux de crimes violents liés aux armes à feu parmi l’ensemble des
Les crimes violents commis aux États-Unis ont tendance à mettre en cause des armes à feu plus souvent que ceux commis au Canada. les régions urbaines (3 pour 100 000) du pays. De plus, une carabine ou un fusil de chasse était présent dans 16 % des crimes violents commis avec une arme à feu, tandis que 4 % de ces crimes mettaient en cause un autre type d’arme à feu4. Venaient ensuite Moncton (39 pour 100 000 habitants) (tableau 6, graphique 9), puis Saskatoon (38 pour 100 000 habitants) et Hamilton (33 pour 100 000 habitants). En 2012, on comptait environ 800 000 armes à feu enregistrées au Canada, lesquelles étaient réparties entre 2 millions de détenteurs de permis. Linked Data. Tous les résultats excluent la
Exclut la Floride et le District de Columbia puisqu’aucune donnée supplémentaire sur les homicides n’a été publiée en 2012. Statistique Canada. Comparativement
10/22/2018 LSU's Koy Moore: Three Baton Rouge police officers on leave … En général, 50 % de l’ensemble des causes réglées par les tribunaux pour adultes qui impliquaient des crimes violents ont abouti à un verdict de culpabilité en 2011-2012 (Boyce, 2013). Bien qu’ils représentent un pourcentage relativement faible des crimes de violence au Canada, les crimes violents commis à l’aide d’une arme à feu peuvent avoir d’importantes conséquences physiques, émotives et psychologiques pour les victimes, les familles et les collectivités (Hahn et autres, 2005). permet de recueillir des renseignements sur l’arme la plus dangereuse sur les
Accueil. Après avoir enregistré une hausse au début des années 1990, le taux d’homicides commis à l’aide d’une arme à feu au Canada a généralement reculé (graphique 3). Jean-Denis. Les homicides commis à l’aide d’armes à feu ont augmenté de deux tiers – de 134 en 2013 à 223 en 2016 (Statistique Canada; Enquête sur les homicides). armes à feu en 2016. PERREAULT, Samuel. Aux États-Unis, une arme à feu était présente dans 22 % des voies de fait graves, comparativement à 4 % au Canada (tableau de l’encadré 4)7. L’information dont il est indiqué qu’elle est archivée est fournie à des fins de référence, de recherche ou de tenue de documents. 26, no 6, produit no 85-002-XIF au catalogue de Statistique Canada. La majorité (60 %) des victimes de ces crimes ont été agressées par un étranger, comparativement à environ 4 victimes de crimes violents sur 10 (36 %) mettant en cause une autre arme, et à un quart (25 %) des victimes de crimes violents commis sans arme (graphique 10). Le type d’arme à feu le plus souvent présent lors de la perpétration de crimes violents commis avec une arme à feu diffère entre les RMR, où les armes de poing sont les plus souvent présentes, et les régions autres que les RMR, où les carabines et les fusils de chasse sont plus souvent présents. En revanche, le taux de crimes violents commis avec une carabine ou un fusil de chasse était environ quatre fois plus élevé dans les régions autres que les RMR que dans les RMR (respectivement 7,4 et 1,8). Comprend également tous les crimes violents liés aux armes à feu pour lesquels le type précis d’arme à feu était inconnu. 2015. Conformément à la loi canadienne, les armes à feu sont classées en trois catégories : armes prohibées, armes à autorisation restreinte et armes à feu sans restrictions. Somme
De tous les crimes violents dans lesquels une arme à feu était présente en 2012, la plupart (57 %) mettait en cause une arme de poing (tableau 2). observées depuis 2013, le taux de crimes violents liés aux armes à feu en 2016
En 2012, les provinces et territoires ayant déclaré des données ont enregistré 16 auteurs présumés de crimes violents commis au moyen d’une arme à feu pour chaque tranche de 100 000 habitants de plus de 12 ans (tableau 9). Les infractions pour lesquelles il existe un enregistrement complet sur la victime sont incluses dans le sous-ensemble, tandis que les dossiers incomplets sont exclus.